Burkina Faso: une progression alarmante du terrorisme entre 2020 à 2024

 Entre 2020 et 2024 le Burkina Faso a connu une escalade significative des attaques terroristes, Le plaçant au premier  rang mondial selon le Global Terrorism index. Le nombre de décès lié au terrorisme au Burkina Faso a augmenté de 50% entre 2021 et 2022, alors que le nombre d’attaques a quant à lui augmenté de 38%. Du 11 Juin 2022 au 09 Juin 2023 l’ACLED a comptabilisé au Burkina Faso 1630 incidents et 6427 victimes causées par ceux-ci.

En 2024, la situation reste alarmante, avec un pic de violence notamment dans la commune de Barsalogho, avec au moins 300 à 400 morts et 140 à 400 blessés dont des civils, des militaires des forces armées et des miliciens des VDP lors d’une seule attaque revendiquée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM)

Les régions du Sahel, du centre Nord et l’Est ont été les plus affectés par les attaques terroristes. La montée en puissance des attaques terroristes dans ces zones a entrainé des déplacements massifs des populations 

Les civils ont été les principales victimes des attaques, avec des massacres, des enlèvements et des déplacements forcés. En 2024 on estime plus de 2 millions de personnes ont été déplacés à l’intérieur du pays en raison des violences. Des villages entiers ont été vidés de leurs habitants, et les survivants vivent souvent dans des conditions humanitaires déplorables.

Malgré les efforts des autorités burkinabè, notamment par des opérations militaires conjointes avec des forces locales et étrangères, la lutte contre le terrorisme peine à porter ses fruits 

Entre 2020 et 2024 le Burkina Faso a connu une escalade significative des attaques terroristes. Le plaçant au premier rang mondial selon le Global Terrorism index. Le nombre de décès lié au terrorisme au Burkina Faso a augmenté de 50% entre 2021 et 2022, alors que le nombre d’attaques a quant à lui augmenté de 38%. Du 11 Juin 2022 au 09 Juin 2023 l’ACLED a comptabilisé au Burkina Faso 1630 incidents et 6427 victimes causées par ceux-ci.

En 2024, la situation reste alarmante, avec un pic de violence notamment dans la commune de Barsalogho, avec au moins 300 à 400 morts et 140 à 400 blessés dont des civils, des militaires des forces armées et des miliciens des VDP lors d’une seule attaque revendiquée par le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM)

Les régions du Sahel, du centre Nord et l’Est ont été les plus affectés par les attaques terroristes. La montée en puissance des attaques terroristes dans ces zones a entrainé des déplacements massifs des populations 

Les civils ont été les principales victimes des attaques, avec des massacres, des enlèvements et des déplacements forcés. En 2024 on estime plus de 2 millions de personnes ont été déplacés à l’intérieur du pays en raison des violences. Des villages entiers ont été vidés de leurs habitants, et les survivants vivent souvent dans des conditions humanitaires déplorables.

Malgré les efforts des autorités burkinabè, notamment par des opérations militaires conjointes avec des forces locales et étrangères, la lutte contre le terrorisme peine à porter ses fruits

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